POéSURES et PEINTRIES...

Publié le par Juliett' !

Vers de Tiers et dessins de moi ;-)

 

« Ecrire... c’est prendre la mesure de ce qu’on ne se rappelle pas, de ce qu’on ne retient pas.

Ecrire, c’est faire des nœuds dans des voiles transparents en sachant que ça déchirera ailleurs.

Ecrire, ça se fait contre la mémoire et non pas avec. »

 

« Tu as le ciel que tes carreaux t’ont dessiné,

et le soleil sur une toile de ciné... »

 

« Ce sont nos dernières vacances avant l’indifférence. »

 

« Ce qui me plait dans ce duo, c’est que je fais la voix du haut ! »

 

 








« La mesure d’aimer, c’est d’aimer sans mesure. »

 


« Je voudrais apprendre à ne plus savoir, à détricoter mes réflexes.

Je souhaite étudier l’art d’être ignorant, me soigner de mes certitudes, quitter mes ambitions, annuler mon passé et ne plus conjuguer mes émotions qu’au superlatif. »

 

                                                                    « J’aimais l’éclat de ses défauts. »

 


« Elle a son jardin, elle a. C’est tout plein des lumières. C’est tout plein d’abeilles. C’est tout plein de roses. Le lilas refleurira.

C’est tout plein de voisins, bien plus loin.

L’odeur de la menthe la nuit monte au ciel.

C’est tout plein de temps. Passe doucement.

Elle a le visage tout plein de vent.

Je n’ai pas de jardin, mais le grand large.

Puissent les cerises rester rouges jusqu’à l’aube. »

 

 

« Sur ma peau salée,

Presque sur mon cœur,

T’as posé un baiser, moqueur… »

 

« Aimer c’est être impuissant contre le temps et en avoir conscience.

Aimer, c’est savoir que l’amour n’aura qu’un temps, toute la vie peut être, mais seulement ce temps là... »

 

« Le pardon : considérer les faits sans rancune, en dépit de l’offense. »

 

« Ma tête désaccordée... »

 

« Il ne faut pas mettre la magie à la portée de tous les jours... les promesses ne seraient pas tenues. »

 

« Effrayer les plus audacieux et soi même. »

 

 

« Ces mots d’amour, qui font si bien du mal... »

 

« Vie douce, sans stress – se mouler, se glisser dans un cocon, s’anesthésier par le calme, quitter l’enfer, quitter les autres, pour un temps. »

 

« La vie est belle »... Je ne sais pas ce que cela veut dire, c’est fou la vie, c’est changeant, c’est du jamais certain et du toujours inquiétant. »

 

« Libertés passagères, souvent intenses, mais soumises toujours à la question du temps et à celle des autres. »

 


« je ne veux plus de ces gens ternes et superficiels qui cachent leur vide et m’ennuient – Plus de faux amis, plus d’illusionniste inconstants, baratineurs de foire qui envahissent mon territoire, réduisent mes rêves à néant parce qu’ils n’en ont pas et me laisse exsangue. »

 

« Ses discours sont des silences corrigés. »

 

« Quelque chose se distingue, là bas l’air est en grande chamaillerie d’oiseaux autour d’une goélette de pêche. »

 

 

« Dès l’arrivée, tous ces bras ouverts, ces mains tendues forçaient à la dérobade.

Enfant, déjà, de trop longues embrassades me donnaient envie de fuir pour toujours. »

 


« On peut vivre en mer ou en plein ciel, à hauteur d’homme, sans faux fuyant, dispensé du plus médiocre de soi même. »

 

 

« La fonction propre de l’homme est de vivre, non d’exister. »

 

« Y’a des filles comme ça

Qui ont le cœur comme une île

Avec des plages douces

Un semblant d’rocher

Pour faire croire à tous

Que c’est difficile

Que c’est difficile

De s’en approcher. »

 


« Il dessine son rêve dans ma tête. »

 

                                                                                        Aïta pea pea.

 


« T’es mal tombé, tu m’es tombé en plein cœur ! »

 




« Besoin d’un partage pour dépasser les voix et les voies ordinaires de l’amour, explorer d’autres galaxies, d’autres possible... mais il était hors sujet. »

 


« C’est difficile de rester entier dans un monde cassé. »

 




« La plénitude est autour, partout, à perte de cri et de regard. »

 


« L’important n’est pas de dire s’il fut heureux, le bonheur importe peu.

Il vécut pour tous ceux qui n’osèrent pas, commit son compte d’injustices, d’erreurs, mourut à contre temps de l’Histoire. »

 

« Son amour du large fut sa fraternité. »


 
« Il faudrait des volumes pour décrire les états d’esprit infiniment variés faits d’anxiété, de joie, d’étonnement, d’émotion, de bien être, que peut provoquer le vol.

Mais chez un aviateur, il se passe invariablement une sorte de combat entre l’instinct de conservation, d’une part, et le désir de voler, d’autre part.

Au bout de quelque temps, l’un ou l’autre cède. »

 

« C’est ainsi... On croit rentrer chez soi, et c’est en soi qu’on rentre. »

 

« Le temps de lire, comme le temps d’aimer, dilate l’existence. »

 

« Le Péloponnèse devant les yeux, un verre d’ouzo à la main et Toi dans ma tête. »

 

« Toutes les grandes personnes ont d’abord été des enfants, mais peu d’entre elles s’en souviennent. »

 



« Sous le manteau de la prudence, qu’on prend parfois pour la sagesse, on reconnaît souvent la peur. »

 





« Dans la vie, il y a deux façons de gérer son complexe de supériorité :

-        certains se contentent de talonnettes,

-        d’autres ont besoin d’une montgolfière ! »

 

« Tout est relatif et cela seul est absolu. »


 



« Dans le ciel, on est à l’abri de la vie, de ses bassesses, de ses chagrins.

On se sent pur et hors d’atteinte. »

 




"Je ne sais pas parler quand il faut, ni avec le ton qu'il convient.
Je suis émue alors je deviens dure pour cacher mes émotions.
Comment parler de ses émotions et du bouleversement quelles provoquent au moment où elles se produisent ?"

j'allais mourir dans le jardin, pour voir si mes parents m'aimaient bien !

"Les plus beaux moments de la vie, sont les moments d'Amour".

« J’ai cru entendre les hélices d’un quadrimoteur, mais hélas, c’est un ventilateur... qui passe. »

 

...

 


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Publié dans Fantaisies !

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